Deuxième participation au CES de Las Vegas pour Genes’ink

« L’année dernière nous avons été sélectionnés au dernier moment. » nous explique Corine Versini, CEO de Genes’ink, « Cette année, nous avons noté une vraie différence dans la préparation : prototypes, brochures, fiches salon, nous avions tout prévu. Ce coaching nous a donné de vrais outils pour le CES et même pour de prochains salons. ». Un entrainement nécessaire pour tenir le rythme : « On est levé tôt le matin pour un before avant l’ouverture, un petit déjeuner avec investisseurs et institutionnels et après c’est toute la journée sur le stand. ».

Cette préparation a été déterminante pour la startup qui a noté une vrai différence par rapport à sa première édition, notamment au niveau des rendez-vous: « Nous avons eu une bonne centaine de contacts sérieux, de grands groupes comme Fisher Price ou Amazon. »

Au sein de l’Eureka Park, tous les pays et toutes les nationalités sont représentées. De nombreuses opportunités sont offertes aux startups françaises, notamment celles de rencontrer des groupes Français qu’elles n’auraient pas pu rencontrer en France. Mais pour arriver à capter l’attention, il est essentiel de se démarquer. Le fait d’avoir « une unité de visuel au niveau de la French Tech, c’est un gage de qualité en plus. », selon Corine Versini.

Un suivi est également prévu pour l’après CES. Une période chargée, puisqu’il va falloir suivre et relancer les contacts  jusqu’en mars. Si l’aventure a fourni à la startup de nouvelles pistes, il faudra au moins deux mois pour dresser un bilan des commandes, faire le suivi des clients et concevoir les premiers prototypes.